プライム無料体験をお試しいただけます
プライム無料体験で、この注文から無料配送特典をご利用いただけます。
非会員 | プライム会員 | |
---|---|---|
通常配送 | ¥410 - ¥450* | 無料 |
お急ぎ便 | ¥510 - ¥550 | |
お届け日時指定便 | ¥510 - ¥650 |
*Amazon.co.jp発送商品の注文額 ¥3,500以上は非会員も無料
無料体験はいつでもキャンセルできます。30日のプライム無料体験をぜひお試しください。
Aida [Blu-ray]
購入オプションとあわせ買い
この商品をチェックした人はこんな商品もチェックしています
商品の説明
Giuseppe Verdi's masterpiece Aida at La Scala in Milan is an experience in itself. Consequently, this new production is an event barely to be surpassed, especially when played before La Scala's notoriously critical audience. Legendary stage director Peter Stein succeeds in delivering a lucid production acclaimed in equal measure by the press and public: a perfect coup de theatre (Giornale della musica). A stellar cast (La Stampa) contributes to the production's success under the musical direction of Verdi specialist Zubin Mehta, who leads the orchestra in a gorgeously colorful performance, while the entire ensemble is brilliant in its portrayal of the characters (Die Presse).
登録情報
- アスペクト比 : 1.78:1
- 言語 : イタリア語
- 製品サイズ : 1.12 x 17.04 x 13.46 cm; 86.18 g
- EAN : 0814337013233
- 製造元リファレンス : unknown
- メディア形式 : インポート
- 時間 : 2 時間 31 分
- 発売日 : 2015/10/30
- 字幕: : ドイツ語, イタリア語, スペイン語, 韓国語, 日本語, フランス語, 中国語, 英語
- 販売元 : C Major
- ASIN : B014JD2L1E
- ディスク枚数 : 1
- Amazon 売れ筋ランキング: - 166,041位DVD (DVDの売れ筋ランキングを見る)
- カスタマーレビュー:
-
トップレビュー
上位レビュー、対象国: 日本
レビューのフィルタリング中に問題が発生しました。後でもう一度試してください。
舞台美術や装置、衣装も当時のエジプトの世界観を押さえつつ、現代的でシンプルに仕上げているところは大変満足しています。
「凱旋行進曲」も舞台上に生のバンダ演奏隊を配置し、アイーダトランペットを行進しながら吹くあたりは結構見ものです。もちろん買ってよかったと思います。
ですが、2点だけ物を申したいです。
①せっかくのいい演奏、いい歌唱でも日本語字幕の誤字(表現の違い)が多すぎます。
こういうDVDやブルーレイの日本語字幕は一体誰が監修しているのかわかりませんがひどすぎます。
例えば・・・
1幕1場:『エチオピア王あK!』(意味不明)
2幕2場:×敗れた服⇒〇破れた服
4幕1場:×死者⇒〇使者
4幕1場:ラダメスが裁判にかけられている時のランフィスが3回尋問する場面で、2回目と3回目が『陣営から逃亡した』と同じ内容の質問を2度繰り返して表示されている。
などなど、細かく見たらツッコミどころがまだまだありそうなクオリティです。
内容はだいたいわかるのでいいのですが、ちょっと気になります。
②ラダメスが。。。。
歌手の見た目のことを言っては失礼ですが、ラダメスは上手ですが、見た目が丸々と肥えた歌手です。
うーん、とても戦いを勝ち抜いてきた指揮官とは思えません。
歌唱力はもちろんですが、役のイメージを下げてほしくないな~と思った次第です。
ということで、演出、歌唱、演奏、指揮、舞台美術、装置、衣装などは満点ですが、上記2点の部分が残念でマイナス2点で星3つという感想です。
ご参考いただければ幸いです。
他の国からのトップレビュー


L'Aida que nous propose le metteur en scène Peter Stein tourne complètement le dos à cette vision. Sans donner dans la grandeur débridée de la Fura dels Baus à Vérone, encore moins dans l'élucubration de Graham Vick au Bregenzer Festspiele, Peter Stein nous offre une vision d'une rare beauté, d'une rare sobriété. Nous ne sommes plus dans le péplum (sans aucune connotation péjorative de ma part) nous plongeons dans la tragédie grecque.
Un décor très graphique dessiné par le blanc et le noir où la lumière de Joachim Barth joue un rôle essentiel.
Les costumes sont aussi une véritable réussite. Sommes- nous plongés dans un lieu sacré sans origine, et sans passé où seule règne la beauté ?
C'est ce que j'ai ressenti face à ces voilages qui planent, face au hiératisme de ces grandes robes immaculées.
Pour mieux cerner le drame Peter Stein supprime le ballet. Il s'avère que cette option est d'une redoutable efficacité. Il est aidé par des chanteurs qui jouent cette tragédie avec une réelle conviction.
LES INTERPRÈTES :
Zubin Metha est à la tête de l'orchestre de la Scala qui a été façonné par les quelques années passées en compagnie de Daniel Barenboim. Je dois reconnaitre que j'ai trouvé la direction de Metha bien bruyante pour ne pas dire clinquante. Peut-être cette impression vient-elle d'une balance qui favorise l'orchestre au détriment des voix.Certes la scène du triomphe de Radamès est impressionnante, Metha y déverse le feu. C'est dans les passages plus intimes et, Dieu sait qu'ils sont nombreux dans cette partition, que j'aurais aimé plus de finesses.
C'est d'ailleurs, à mon sens, une constante de cette interprétation.
Le Radamès de Fabio Sartori ne donne pas dans la nuance. Malgré ce manque de raffinement il n'impose pas pour autant la vaillance de son personnage.
George Gagnidze est Amonasro : une belle voix de baryton qui ne présente pas non plus la moindre délicatesse. Il campe un Roi d'Ethiopie tout en force, en sauvagerie.
Est-il nécessaire d'évoquer le Grand prêtre Ramfis. Ce rôle est confié à Matti Salminen qui n'est même plus, l'ombre de lui-même. C'est pathétique d'écouter cette magnifique voix de basse chevroter les « Radamès, Radamès, Radamès » au moment du jugement. Pourquoi ce grand artiste a-t-il accepté de nous infliger cette déchéance ? Mystère !
Heureusement il y a l'éternel féminin !
Kristin Lewis, cantatrice américaine interprète Aida. Elle n'a peut être pas tout a fait la voix de ce rôle, mais sa sensibilité, sa féminité, sa fraicheur compensent ce léger déficit. Son « O patria mia » est plein de grâce et de nostalgie.
Anita Rachvelishvili est la révélation de cette production. Elle incarne Amneris, la fille de pharaon. Elle avait déjà suscité notre admiration dans le « Price Igor » du Met, très récemment dans « La fille du Tsar » de Rimsky-Korsakov.Une magnifique voix de mezzo-soprano, ample, au timbre coloré par de riches nuances. Elle dispose d'un don de tragédienne incontestable qui lui permet de donner à ce rôle, souvent traité de manière négative, une grande humanité. Le public de la Scala ne s'y trompe pas lui réservant un véritable triomphe.
Au moment de conclure, je suis partagé entre la beauté de la représentation et la légère déception musicale, essentiellement due aux prestations masculines.
Avec le recul, et les visions successives, je garde le souvenir d'un moment où la grâce et la beauté se conjuguent. C'est suffisamment rare pour acquérir sans hésitation cette nouvelle Aida.

